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Botaniste et zoologiste guadeloupéen ; il avait réalisé une étude des oiseaux de Guadeloupe, mais toutes ses notes et ses collections furent détruites par le tremblement de terre de 1843.

Epigraphiste et historien d’art spécialiste de l’Afrique du Nord, directeur du service des antiquités de Tunisie, puis inspecteur général des bibliothèques, musées et collections de l’Afrique du Nord.

Magistrat breton, procureur général du Parlement de Bretagne, il s’opposa violemment au duc d’Aiguillon.

Archéologue, découvreur du site gallo-romain de Sanxay, il met à jour de nombreux et importants vestiges à Poitiers.

Peintre de la Belle-époque, il est l’ami du tout Paris.

Député légitimiste de Loire Inférieure à la Constituante et la Législative.

Gouverneur général de Saint-Domingue (1785-1787), ministre de la Marine (1787-1790).

Littérateur, poète et critique littéraire ; s’étant brouillé avec Fréron, il créa l’Observateur littéraire, salué par Voltaire.

Député royaliste de Loire-Inférieure à la Constituante et la Législative, correspondant du Comte de Chambord.

Militaire et homme politique nationaliste, président des Croix de Feu, puis du Parti Social Français ; résistant, il fonda le réseau Klan.

Gouverneur de Belfort qu’il fit fortifier ; il défendit valeureusement sa ville assiégée durant la Fronde, mais dut capituler.

Poète passionné par la Grèce antique, il est un temps proche de l’Action française avant de s’en éloigner pour mieux défendre le Romantisme.

Evêque d’Arras (1802-1851), cardinal (1846).

Archevêque de Bourges (1861-1879).

Lieutenant général des armées du roi, commandant en chef les provinces de Poitou et Saintonge, député aux Etats généraux, ministre de la Guerre, guillotiné le 28 avril 1794.

Poète et philosophe, membre des académies de Nancy, Dijon et Metz, mort sur l’échaffaud.

Aéronaute et explorateur, compagnon de Mermoz, fondateur de la Fédération aéronautique internationale (1905), il se tue au cours d’une démonstration.

Universitaire, professeur de langue et de littérature latines à la faculté de Bordeaux.

Ethologue, biologiste, chirurgien et philosophe, spécialiste du comportement animal et surtout du comportement humain. Fondateur du laboratoire d’Eutonologie à l’hôpital Boucicaut.

Ecrivain et journaliste au Gil Blas, il fut le défenseur du féminisme.

Romancier et dramaturge belge.

Surnommé Lacretelle Jeune (pour le distinguer de son frère aîné, Pierre Louis, également académicien), journaliste et historien, membre de l’Académie française (1811), pionnier de l’étude historique de la Révolution française.

Minéralogiste, volcanologue et géologue, membre de l’Académie des sciences et du Muséum.

Magistrat, père de René Laennec, ses intrigues galantes lui valurent une réputation sulfureuse.

Médecin-chef de l’Hôtel-dieu de Nantes, l’un des fondateurs et premier secrétaire général de la Société Académique de Nantes.

Empoisonneuse ; condamnée aux travaux forcés à perpétuité pour le meurtre de son mari, elle fut graciée en 1852 et mourut peu après ; elle ne cessa jusqu’à sa mort…

Député et sénateur de l’Hérault, ministre de l’Instruction publique (1917-1919), président du Grand Orient de France, il s’est fait remarquer par ses positions anticléricales virulentes.

Botaniste espagnol, directeur du Jardin botanique de Madrid ; à la suite de la guerre Carliste, tous ses manuscrits sont détruits (1823) et il s’exile à Londres (1824).

Homme politique socialiste, premier secrétaire d’Etat aux sports, sous le gouvernement du Front populaire, tué au début de la guerre.

Vice-amiral.

Dessinateur, il se spécialise dans la gravure et l’illustration. Il est également l’auteur d’un Traité de la gravure à l’eau-forte.

Général, il s’est particulièrement illustré en Algérie, où il reconquiert la Kabylie en 1871.

Gouverneur général des Etablissements français de l’Inde, condamné à mort et décapité après la reddition de Pondichéry.

Professeur de lettres, traducteur et essayiste, il consacra de nombreux ouvrages à l’Histoire de la littérature.

Général d’Empire, mort du choléra en 1832. Il fit capituler Hudson Lowe à Capri en 1808.

Ministre des Finances de Louis XVI, guillotiné en 1793.

Préfet d’Oran (1870) puis député d’Algérie (1871-1877).

Élève d’Eugène Delacroix et de Paul Delaroche, il se spécialise dans la peinture de chats et de chiens. Chevalier de la Légion d’Honneur.

Général de l’Empire, disparu au passage de la Bérésina.

Député aux Etats généraux et général d’Empire ; il avait combattu en Amérique aux côtés de Rochambeau.

Magistrat et homme d’Etat, membre de l’Académie française. Comme censeur royal, il soutient la publication de l’Encyclopédie. Guillotiné en 1794.

Général, il prend une part active lors de la conquête de l’Algérie, en particulier lors de la prise de la Smala d’Abd-el-Kader ; gouverneur par intérim de l’Algérie, député et…

Violoniste et compositeur, admirateur de Wagner, fondateur des Concerts Lamoureux.

Evêque de La Rochelle (1856-1867), puis archevêque de Reims (1867-1874). Il fut aussi un prédicateur éloquent et un écrivain.

Peintre russe de la nouvelle Ecole de Paris.

Peintre. Élève de Viollet-le-Duc et de Courbet, il est paysagiste, fréquentant notamment les peintres de l’École de Barbizon.

Romancier berrichon, conteur et critique littéraire.

Peintre formé à l’Académie Julian, il reçoit le Prix de Rome en 1898. Ses oeuvres sont notamment conservées au Louvre, au Musée d’Orsay et au Musée des Beaux-Arts de Bordeaux.

Lexicographe, archiviste et conservateur à la bibliothèque de l’Arsenal et à la Mazarine. Auteur d’un dictionnaire d’argot.

Député légitimiste de l’Hérault et du Gard, puis sénateur et ministre des Travaux publics dans le gouvernement Thiers. Il publia aussi quelques travaux historiques.