Vladimir Fyodorovitch Adlerberg (comte)
Homme politique russe, conseiller du tsar Nicolas 1er, créateur des timbres-poste russes.
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Homme politique russe, conseiller du tsar Nicolas 1er, créateur des timbres-poste russes.
Ministre des Affaires étrangères de Louis XV (1737-1744), membre de l’Académie française.
Membre de la Commune de Paris, ouvrier chapelier et orateur, il fut l’un des communards les plus extrémistes et les plus violents. Déporté en Nouvelle-Calédonie.
Homme politique suisse, grand bailli de la République helvétique, ami déclaré de la France et ardent admirateur de Napoléon, il est l’un des rédacteurs des codes pénal et civil valaisans.
Entomologiste et homme politique, membre fondateur de l’Académie de Clermont.
Député du Lot-et-Garonne à la Constituante de 1848, il fut l’auteur de la “proposition des questeurs” affirmant que seul le président de l’Assemblée avait le droit de requérir la force…
Résistant, homme politique et patron de presse, nationaliste et catholique, il est fait Compagnon de la libération par le général de Gaulle.
Homme politique et industriel, directeur général des Ponts et Chaussées, fondateur des fonderies et forges d’Alais.
Homme politique, ministre de l’Intérieur de la première Restauration.
R?sistant, il remplace Jean Moulin au Conseil National de la R?sistance. Pr?sident du gouvernement provisoire en 1946.
Conventionnel de la Drôme, il fut envoyé par la Convention combattre la contre-révolution dans les départements du Midi.
Avocat et député, défenseur de Beaumarchais et du général Moreau.
Ministre de la Marine de Louis XV (1771-1774).
Conventionnel girondin et directeur de théâtres, il constitua une riche collection de tableaux et de plantes exotiques.
Député montagnard de l’Hérault à la Constituante et la Législative.
Maire de Nancy (1852-1869) et député de la Meurthe durant tout le second empire.
Ministre de l’Intérieur (nov. 1791 – mars 1792).
Député de l’Hérault à la Législative et à la Convention, régicide, spécialiste des questions financières.
Député de la Gironde aux élections de février 1871, il siège à l’extrême droite et participe à la chute de Thiers.
Ingénieur, député, directeur de la Manufacture des Gobelins ; il était le fils du président Sadi-Carnot.
Homme politique et écrivain, président du Tribunat.
Littérateur et député, collaborateur de la Bibliothèque du citoyen fondée par Lafayette, il fut impliqué dans l’attentat de Fieschi.
Journaliste clérical et antisémite, fondateur de l’Autorité, député du Gers, il fut aussi un fameux duelliste (se battant 22 fois sans jamais être blessé).
Premier ministre, président de l’Assemblée nationale, maire de Bordeaux, gaulliste et résistant.
Sénateur (1800), l’un des fondateurs de l’Ecole normale, il fut enlevé par les agents de Fouché, rocambolesque histoire qui inspira à Balzac l’intrigue d’une Ténébreuse affaire.
Homme politique radical et anticlérical, président du Conseil (1902-1905), il mène une lutte qui conduit à la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat.
Médecin personnel de Napoléon III, député de la Somme.
Ministre de l’Intérieur (1821-1828).
Haut-commissaire de la République en Afrique équatoriale française (1948-1951) puis, en Afrique occidentale française (1951-1956), il sera ensuite député, ministre et maire de Cannes.
Ministre des Finances de Louis XVIII (1815-1818).
Homme d’Etat polonais, président du Conseil et ministre des Affaires étrangères de la Russie impériale de 1804 à 1806, président du gouvernement national polonais (1830).
Géologue, professeur de géologie appliquée à la Faculté des sciences de l’Université d’Alger, président de l’Institut de recherches sahariennes. Député d’Alger (1946).
Diplomate et secrétaire d’État, il négocie avec les protestants les édits de pacification de Bergerac (1577) et de Fleix (1580). Destitué par Henri III (1588), il adhére à la Ligue…
Magistrat et député d’extrême-gauche, ami de Clemenceau et Gambetta.
Député de l’Ariège sous la IIIe République, ministre à plusieurs reprises (Affaires Etrangères, Guerre, Marine, etc.), il est l’un des artisans du rapprochement de la France et de la Grande-Bretagne…
Elu à la Législative puis à la Convention (Ain) dans les rangs des Montagnards régicides, il devient conseiller à la cour impériale de Lyon (1811) d’où il est révoqué à…
Fils d’Henri-Evrard, défenseur de la cause conservatrice et légitimiste.
Diplomate, ministre des Affaires étrangères de Napoléon III, membre de l’Ac. des sciences morales et politiques.
Ecrivain. Il reçoit le Prix Goncourt en 1948 et entre à l’Académie française en 1966. Homme politique : ministre des Affaires culturelles (1973-1974) et député de Paris (1978-1981).
Cardinal, premier ministre durant la Régence (1715-1723), membre de l’Académie française.
Homme politique, député de l’Isère (1880-1897), ministre de la Justice (1893-1894), président du Sénat (1906-1920).
Conventionnel du Mont-Blanc puis député au Conseil des Cinq-Cents.
Homme politique, de nombreuses fois ministre sous la 3e république, président du Conseil. Membre de l’Académie française (1863).
Conventionnel du Mont-Blanc, il fut envoyé à l’Armée des Alpes et à l’Armée d’Italie.