Etienne Aymonier
Linguiste et administrateur colonial, spécialiste de la culture Khmère, premier directeur de l’Ecole coloniale.
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Linguiste et administrateur colonial, spécialiste de la culture Khmère, premier directeur de l’Ecole coloniale.
Vice-amiral, explorateur du Sénégal dont il devint gouverneur.
Diplomate et administrateur, gouverneur général de l’Algérie (1891), membre de l’Académie française (1918).
Haut-commissaire de la République en Afrique équatoriale française (1948-1951) puis, en Afrique occidentale française (1951-1956), il sera ensuite député, ministre et maire de Cannes.
Consul général anglais en Egypte (1883-1907), il joua un rôle important de pacificateur du pays.
Contre-amiral, gouverneur de la Réunion (1857).
Amiral britannique, gouverneur de la Jamaïque, puis de Terre-Neuve ; il fut l’un des artisans de la victoire navale du cap Lizard (1794) et du blocus de Saint-Domingue (1802).
Gouverneur de la Martinique (1765), gouverneur général des Îles du Vent (1768) puis commandant général des îles françaises sous le Vent (1775), il fit beaucoup pour la prospérité des Antilles.
Gouverneur de la Martinique (1887), puis de la Guyane (1888-1893 et 1903-1905), député de la Guyane.
Député puis sénateur du Pas de Calais, ministre des Affaires étrangères, gouverneur général de l’Algérie, élu à l’Académie française (1923) et à l’Académie des sciences morales et politiques (1918).
Gouverneur général de Saint-Domingue (1785-1787), ministre de la Marine (1787-1790).
Gouverneur général des Etablissements français de l’Inde, condamné à mort et décapité après la reddition de Pondichéry.
Préfet d’Oran (1870) puis député d’Algérie (1871-1877).
Général, il prend une part active lors de la conquête de l’Algérie, en particulier lors de la prise de la Smala d’Abd-el-Kader ; gouverneur par intérim de l’Algérie, député et…
Gouverneur général de l’Algérie (avril 1951 – janvier 1955).
Général de la Révolution, gouverneur de l’Isle-de-France (Maurice) de 1800 à 1803 puis de l’île Bourbon (Réunion) de 1803 à 1805.
Gouverneur général de l’A.O.F (1908-1915) ; lors de la Première Guerre mondiale, il fut chargé de recruter des volontaires africains pour les champs de bataille.
Officier de marine, commandant le Port-de-Paix (Saint-Domingue), frère cadet de l’amiral d’Orvilliers.
Contre-amiral, gouverneur de la Nouvelle-Calédonie (sept. 1882 – sept. 1884), il s’efforça de développer les infrastructures et d’améliorer les conditions de vie dans la colonie.
Explorateur du Mékong, premier vice-consul de France à Luang Prabang (1886), il négocie avec le Siam le protectorat français sur le haut Laos (1893) et fixe avec la Chine les…
Intendant de la Guadeloupe, de la Martinique, puis intendant général des Isles du Vent ; il avait été président à mortier au parlement d’Aix.
Gouverneur de Nouvelle-Calédonie (1892-1894), gouverneur général de Madagascar (1910-1914).
Officier de marine et naturaliste, commandant supérieur de l’île Nossi-Bé (Comores), il est l’un des rares survivants du naufrage de la Méduse (1816). Il a publié d’importants travaux sur les…
Général de la Révolution, gouverneur de la Guyane (1792-1793), il fait naufrage à son retour en France et demeure prisonnier des Anglais.